Defiscaliser avec la loi Duflot :
Aprés une longue periode de doutes et d’incertitudes, la loi Duflot, devant faire suite à la fameuse loi Scellier a enfin été dévoilée dans sa mouture finale.
Le challenge est de taille car la précédente loi Scellier a été, il faut l’avouer, plebiscitée par des milliers de contribuables devenus investisseurs et de ce fait , soulagés d’une bonne partie de leur imposition ! La loi Duflot sera t elle à la hauteur ?
Et bien, il faut avouer que prenant à contrepied les sceptiques et les pessimistes, notre nouvelle Loi Duflot semble en effet tres attractive.
LE PRINCIPE DE LA LOI DUFLOT :
Faisons simple … Un investisseur fait l’acquisition d’un bien immobilier classique et s’engage à le mettre en location auprés d’un tiers pendant un minimum de 9 ans.
En compensation de cet engagement, il va pouvoir bénéficier d’une REDUCTION D’IMPOT équivalente à 18 % du cout de revient de son bien immobilier ( prix d’achat + frais de notaire). Cette réduction d’impot va etre répartie sur les 9 ans d’engagement de location soit 2 % du montant du cout de revient de l’opération en réduction d’impot.
LES CRITERES :
Le type de bien est libre dans la mesure ou il s’agit d’un bien neuf, souvent achété en VEFA soit en « Vente en état futur d’achevement », et dans un budget maximal de 300 000 €.
Ce bien doit respecter les normes BBC et doit etre situé dans une zone elligible à la loi Duflot ( la grande majorité des villes de la région Rhone- Alpes le sont).
Le loyer ainsi que les ressources des locataires doivent respecter des plafonds.
Ces derniers cirtéres ne sont pas vraiment pénalisants car le loyer sera de ce fait légérement en dessous du marché libre, facilitant ainsi la mise en location du bien alors que les plafonds de ressources des locataires sont assez larges pour permettre une selection de bons candidats sans avoir à agir dans le « social » comme nous aurions pu le craindre.
L’économie d’impot ainsi générée , cumulée au loyer perçu doit permettre de quasiment compenser le crédit payé pour l’acquisition du bien.
Le réel effort d’épargne est donc faible permettant ainsi à notre investisseur de faire l’acquisition d’un bien immobilier en toute simplicité et sans difficulté.
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